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Nos archives
TOO ..... le studio d ....Déménagement....
Le studio a déménagé :Le petit Bazar rue Imbers Colomes 69001 Lyon
c est fait encore plus grand, encore plus chaud, et toujours mieux équipé (fiche tech)
Baltringue on naît, baltringue on meurt, il n'y a pas à sortir de là ...
C'était comme ça, joué d'avance et d'avance perdu ... Alors le grand ciel bleu sombre, la mer immense ... Le soleil écrasant... Vous pensez...
Ces soudaines envolées de guitare, nostalgiques, véhémentes et bancales, toutes d'une véracité, d'un dédain presque insoutenables, toujours à vous gonfler en dedans de sourdes bouffées d'espoir, de colère, de durs désirs et de sang noir... À toujours essayer de vous faire accroire des choses... Ces grands troupeaux de chevaux sauvages dans le crépuscule, les feux qu'on allumait sur le sable, à proximité de la mer étale et mauve, tout près de l'extrême rebord de la nuit... Certains soirs, on se souvient bien des sourires, des promesses, mais à quoi ça vous mène... Même ces maisons aux façades blanches, aveuglantes dans le plein du midi, crayeuses, abruptes comme des falaises... C'est bien tout fini, allez...
On a beau après se rappeler le monde des vivants... Séduisant et fourbe, pour fascinant qu'il avait l'air de loin, c'était une belle vacherie parfaitement hors de prix, faite de toc et de tape-à-l'oeil, de parlotes creuses et de clinquant, triste comme une assiette de choucroute froide et de surcroît excessivement salissante à force de petites ententes avec les autres, avec soi, de tripotages, de renoncements obligés. Il en aura fallu, du temps, pour comprendre, pour ainsi dire, presque toute l'existence...
Baltringue, quand même au bout du compte, tout ce qu'on aura gardé au fond de son coeur, à soi tout seul, de tendre et de doux, d'intact, c'est bien nos morts. Rien que nos morts à nous - nos morts à nous et quelques autres, de ces morts d'adoption, de ces inconnus qu'on s'est choisis un peu au petit bonheur la chance sur la route et qui n'en sont pas moins restés les moins chers au fond, aussi bien au sens propre qu'au sens figuré...
Le reste, tous nos médiocres accommodements, nos mesquines petites angoisses de comptables, nos frêles lambeaux de rêves salariés, nos amertumes pas très reluisantes, toutes ces minces souffrances, les infimes petits besoins bien sales et dégueulasses, les secrètes cochoncetés même à quoi on se croyait tant attaché au fond, parce que ça aidait bien à vivre, quand même... Rien de tout cela n'a tenu la distance... Tout s'est effiloché peu à peu sans qu'on y prenne trop garde... Au bout du compte, à la fin, il ne reste plus bien grandchose, plus beaucoup de valises à poser au moment qu'on ferme...
On aurait bien voulu, pourtant, jusqu'au dernier moment, faire encore des efforts, des choses et des machins, même intéresser encore un peu, distraire... Seulement, c'est pas facile de distraire. On croirait, mais c'est encore bien moins facile que le reste, amuser la galerie... Ça demande beaucoup d'efforts, une application incessante, et surtout énormément de courage. Quant à intéresser...
Rien que des choses trop compliquées. H Pagan - derniere station avant l'autoroute -
Pour rire voici un petit rappel de droit qu'il est toujours amusant de lire pour se rassurer.......
Avant même sa sortie en salles, prévue le 28 juin prochain, l'adaptation sulfureuse de Baise-moi, best-seller éponyme de Virginie Despentes (publié en 1995 aux Editions Florent Massot) aura fait parler beaucoup d'elle. Réalisé en DV par la romancière et Coralie Trinh Ti, ex-hardeuse de son état, Baise-moi brosse le tableau trash de deux zonardes, sorte de Thelma et Louise "hardcorps" accrocs à la dope et aux revolvers, lancées dans un road-movie très sexe, drogue et rock'n'roll. Face à un titre aussi évocateur et accrocheur, ainsi qu'aux nombreuses scènes de violence et de sexe (la majorité de la distribution étant assurée par des porno-stars, telles Karen Bach et Raffaëlla Anderson), Philippe Godeau, producteur du film via sa boîte Pan-Européenne, attendait impatiemment le verdict de la commission de censure pour savoir si le film était viable dans le circuit traditionnel, ou allait être directement classé X. Ce qui aurait conduit immédiatement à la mort du film en salles, le marginalisant directement dans les rayonnages de vidéos clubs. La Commission de classification des oeuvres a rendu sa décision le 30 mai dernier. Baise-moi échappe au classement X, mais sera quand même interdit aux moins de 16 ans avec avertissement, compte-tenu de l'intensité du film. Ouf de soulagement pour Philippe Godeau, qui croit énormément à ce projet de "film d'auteur". Du coup, il a décidé de précipiter la sortie du long métrage le 28 juin prochain, sur une cinquantaine de copies. Les deux projections de Baise-moi au Marché du Film lors du dernier Festival de Cannes ont convaincu pléthores d'acheteurs étrangers ; les ventes mondiales s'élevant à quelques 900 000 dollars, couvrant pratiquement ainsi le budget de 9 millions de francs. Un public aussi impatient : le site Internet du film ayant enregistré à ce jour plus de 500 000 connections. De longues queues d'attente sont à prévoir le 28 juin !
Enfin le voilà. Mais en attendant la sortie du film (le 28 juin faut il le rappeler) voici quelques images.du film, un article de libé et de chronic art et une galerie de portrait à tomber raide fou !!!
..........mais pas le dépit...........................Juste à lire.
allez y c est vital et absolument salvateur
Mister CID déclaré "master of colors au NINKASI".
En effet désormais il est responsables de toute la communication la décoration et l'ambiance du déjà lieu mythique de Lyon et d'ailleurs : Le NINKASI.
Toujours pour notre plaisir un extrait d'un morceau de SAD sur la B.O.F de Baise moi. A écoutez d'urgence en attendant la sortie de l'album
Encore un concert, sous le chapiteau des Ogres de Barback le 7 Juin 2000, et un passage télé FR3 samedi 20 Mai à 16h00
PAUL MAURICE sera en concert au NINKASI (et en bonne compagnie) le 8 Juin au cours d une folle soirée d'aventures et de nouvelles sensations. A exclure d'office aux âmes sensibles et à recommander à tous vos amis.
Quand Paul Maurice s'ennuient, ils font un disque... Alors ils ont fait un disque qui s'appelle "quand je m'ennuie"...
Ils sont partis à la campagne, parce qu'autant s'ennuyer à la campagne...
Et ils ont invité leurs amis car autant s'ennuyer à plusieurs...
L'enregistrement s'est fait en juillet, au studio AD LIB, à St Amour (71), et le mixage en décembre 99, par Jérôme Vicat-Blanc, à Lyon X-Rousse...
Référence : TOO PM 19 Enregistrement "live" + CD Rom En écoute FNAC Lyon à partir du 31 mars 2000
Aujourd'hui, il réalise un square plus grand que nature : cinq pots de deux mètres de diamètre, surmontés d'arbres de sept mètres de haut. Autre délice de taille, les " Nains urbains " argentés que Chabanîs a élevés au fond de son jardin secret. En nombre démesuré.
"Le jardin des pots" angle rue Sébastien-Gryphe et rue du professeur-Grignard
Une nouvelle venue dans production Business, 17 Octobre Chiennes Savantes, quel drôle de nom pour une société ! Dominique Josset et Virginie Despentes viennent de monter leur propre société de production. Dominique, une ex-de la Pan-Européenne Production (Le Huitième Jour, Le Garçu...) a décidé de s'associer avec Virginie pour promouvoir des longs métrages. Le nom de leur boîte ? Les Chiennes Savantes... C'est le nom du deuxième roman de Virginie Despentes ! Patte dans la patte, Dominique et Virginie s'attaquent tout de suite à un premier film : le long métrage écrit et réalisé par Virginie. Décidément, le jeune femme est pleine de ressources...
Vient de réaliser le "encore et toujours" sublime site du festival des inouies
Toujours aussi désopilant, SAD réalise la B.O.F du denier film de Virginie DESPENTES. Un grand moment d'optimisme et de rigolade.........
a terminé le tournage de l'adaptation de son premier roman "baise moi" . Ca va faire très mal .......
